La recherche d'une planque et une rencontre surprise.[Feat Laura M. Aberline]

Je souris légèrement.

-Merci.

Je continuai d'avancer.

-Nous sommes bientôt arrivés.

Je la suivis, guettant les environs j'avais une impression bizarre.

-Je me trompes ou nous sommes suivis ? lui chuchotai-je.

-Non, tu ne te trompes pas, dis-je en souriant.

J'esquissais un sourire.

-Ils attendent quoi, à ton avis pour s'en prendre à nous ?

-Peut-être que je baisse ma garde, dis-je en jetant mon couteau au sol.

Je m'approchais davantage de Laura, souriant.

-Nous allons voir si la chance me sourit encore cette fois.

Ils se jetèrent sur nous. J'en désarmai rapidement un et lui pris son poignard pendant que j'en frappais un autre.

Deux vinrent s'en prendre à moi, j'arrivais à éviter avec aisance leur coups puis j'utilisais la fourberie pour l'emporter. Je mis d'abords un bon coup de pied entre les jambes du premier, le rendant inapte pour un certain temps. Temps que j'utilisais pour littéralement briser la nuque du second en repliant violemment sa tête vers l'arrière. Je m'attaquais ensuite à mon second assaillant en lui entourant mon bras autour de sa gorge et resserrant petit à petit mon étreinte jusqu'à le faire s'évanouir.
Je tournais ensuite ma tête vers toi.

-T'as finis de jouer?

-À qui est-ce que tu parles? demandai-je en me débarrassant de mes deux assaillants.

Je rigolais légèrement en te regardant faire.

-J'ai eus doublement de la chance.

-Tu me les as tous piqué! me plaignis-je en faisant la moue.

-Je te propose de t'offrir le double en livre pour me faire pardonner! dis-je en riant.

-Je crois que je vais te pardonner.

Je lui offris un léger sourire.

-Tu vois, je sais me défendre.

-Il faut croire que oui. De toute façon, que tu sois en vie ou non, je m'en fou un petit peu. Disons que j'ai d'autres préoccupations.

-Je n'en doutes pas, très chère. Je peux t'aider, si tu veux.

-Tu peux faire en sorte que les gens arrêtent de s'entre-tuer dans les rues, que les enfants cessent de pleurer leurs parents et que personne en bas-âge?

-Je ne le peux pas. Pas pour le moment. dis-je en soupirant.

-Mouais... ça aurait été génial. Nous sommes arrivés, dis-je en utilisant mes pouvoirs pour me rendre rapidement à la porte.

Je fus surpris par la vitesse à laquelle elle atteint la porte et compris aisément qu'elle était mutante. Je n'y prêtais pas attention, me rapprochant rapidement d'elle, essoufflé

-T'es rapide.

-Il le faut bien si on veut survivre.

J'ouvris la porte et entrai dans la maison.

-Voilà!

J'entrai alors dans la maison, l'observant, mon visage s'illuminant de plus en plus. Elle était parfaite.

-Je ne sais pas comment te remercier, chère amie.

-Apporte moi des livres ou donne moi à manger, dis-je en souriant. Je suis assez facile à satisfaire!

-En effet. Comparé aux filles de la colonie, tu es la reine de la simplicité. dis-je amusé.